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Depuis 27 ans, le calendrier mural “We, the people” est bien plus qu'un simple calendrier : c'est un récit en images, un voyage à travers les visages, les histoires et les luttes des communautés autochtones du monde entier – un outil puissant, qui informe, émeut et inspire chaque jour.
Un cadeau parfait pour vous et vos proches : achetez-le avant qu'il ne soit épuisé !
En achetant “We, the people” 2026, vous aidez Survival à rester une voix libre et indépendante. Nous n'acceptons aucun financement provenant de gouvernements ou d'entreprises qui violent les droits des peuples autochtones : notre force dépend uniquement de personnes comme vous.
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Trois des superbes photographies de cette année ont été prises par des artistes autochtones, dont la couverture colorée de Genilson Guajajara. À eux, et à tous les photographes qui ont rendu cela possible, nous adressons nos sincères remerciements :
Un membre du peuple massaï, Alessandro Bergamini, Genilson Guajajara, Nicolás Marino, Christophe Chat-verre, Peetsa/FUNAI/CGIIRC, Nathaniel Farouz, Harshit Charles, Neil Giardino, Ryan Redcorn, Réhahn Photography, Natalya Saprunova
Dimensions : 30x30 cm fermé, 30x60 cm ouvert
Taille des carrés pour chaque date : 3,7x4,2 cm
En achetant le calendrier de Survival, vous contribuerez à ce combat, car les bénéfices de sa vente seront entièrement affectés au financement des campagnes que nous menons aux côtés des peuples autochtones depuis 56 ans.
© Survival International
Raison de plus de vous l'offrir à vous-même, ainsi qu'à vos proches, en profitant de l'une de nos différentes offres d'achat :
1 exemplaire → 15,50 euros
2 exemplaires → 27 euros (13,50 euros l'unité)
3 exemplaires → 39 euros (13 euros l'unité)
4 exemplaires → 50 euros (12,50 euros l'unité)
5 exemplaires → 60 euros (12 euros l'unité)
Découvrez le calendrier 2026 : en cliquant sur la galerie ci-dessous, les images se révèleront à vous.
“We, The People” – Calendrier 2026
Campement nenets, Russie, 2018 – Les Nenets vivent dans les étendues gelées de la péninsule de Yamal, où les températures peuvent chuter jusqu’à -50 °C en hiver. Pour eux, les rennes sont synonymes de vie : ils leur fournissent un toit, de la nourriture, de la chaleur et un moyen de transport. Leurs terres et leurs troupeaux de rennes restent essentiels à leur identité, mais leur vie et leurs moyens de subsistance sont menacés par la crise climatique et la pollution généralisée due à l’extraction de pétrole et de gaz.
© Stefano Cestari
Homme q’ero, Pérou, 2022 – Les Q’ero vivent dans les vallées les plus reculées des Andes péruviennes, à des altitudes comprises entre 4000 et 6500 mètres. Les Q’ero affirment vivre en équilibre et dans le respect de tous les êtres vivants, grâce à l’ayni (réciprocité) qu’ils pratiquent avec les individus, leur famille, leurs voisins et leur communauté. Ce principe repose sur l’idée de toujours donner, sachant que, au final, on recevra soi-même en retour.
© Alessandro Bergamini
Kaiky, un garçon guajajara, Brésil, 2023 – Le rituel “Moqueado”, qui célèbre le passage des garçons et des filles de l’enfance à l’âge adulte, est profondément ancré dans le patrimoine culturel et l’identité du peuple tenetehar (également connu sous le nom de Guajajara). À travers la peinture corporelle, la danse et le chant, les participants honorent et imitent la beauté de la forêt, se connectent à leurs ancêtres et apprennent de leurs aînés.
© Genilson Guajajara
Lundi, une jeune fille bayaka, République centrafricaine, 2015 – Lors d’une partie de chasse bayaka, les jeunes apprennent à poser des pièges, à trouver des plantes comestibles ou à utiliser des feuilles comme récipients pour l’eau. Les Bayaka récoltent également une grande variété de racines, de plantes, de champignons sauvages, de miel et bien d’autres choses encore. Les entreprises forestières et l’industrie de la conservation s’emparent d’une grande partie des terres bayakas. #DecolonizeConservation
© Nicolás Marino
Homme mebêngôkre (Kayapó), Brésil, 2009 – Le peuple communément appelé Kayapó se désigne lui-même sous le nom de Mebêngôkre, “peuple de l’eau”. Son territoire est sillonné de grands fleuves alimentés par d’innombrables mares et ruisseaux. Ses terres subissent une pression intense de la part des éleveurs de bétail, des bûcherons et des mineurs qui agissent illégalement.
© Christophe Chat-verre
Membres d’un peuple non contactés près de leurs maisons communautaires, Brésil, 2011 – « Il existe de nombreux peuples autochtones non contactés. Les napë [non-autochtones] en veulent toujours plus et détruisent la nature. Mais le monde entier doit savoir qu’ils sont là, dans leur forêt, et respecter leur droit d’y vivre. » Davi Kopenawa Yanomami, extrait du rapport de Survival “Résister pour exister : la lutte mondiale des peuples autochtones non contactés”.
© Peetsa/FUNAI/CGIIRC
Garçon bajau laut, Malaisie, 2011 – Les Bajau, “nomades de la mer”, vivaient autrefois exclusivement en mer, mais aujourd’hui la plupart d’entre eux vivent au moins en partie dans des maisons sur pilotis construites dans les eaux peu profondes du littoral, dont beaucoup ont été démolies par le gouvernement au nom de la conservation. Au fil des générations, leur corps s’est adapté à la vie sous-marine, de sorte que, lorsqu’ils nagent, leur vision et leur capacité à retenir leur respiration sont bien supérieures à celles d’autres populations.
© Nathaniel Farouz
Femme baiga, Inde, 2014 – Cette femme a été expulsée de force de la forêt de Kanha en Inde – forêt qui a inspiré “Le livre de la jungle” de Kipling – au nom de la protection des tigres. Partout en Inde, de nombreux Adivasi ont subi le même sort, le gouvernement indien –soutenu par de grandes organisations de protection de la nature – les expulsant illégalement des forêts où ils ont toujours vécu et dont ils sont les meilleurs gardiens.
© Harshit Charles

Famille ashaninka, Pérou, 2024 – Pachaka Samaniego (à droite) et sa famille à la recherche d’une source. La déforestation généralisée pratiquée par les agriculteurs andins qui se sont installés sur les terres des Ashaninka dans les contreforts des Andes a eu des conséquences dramatiques sur leur communauté : les colons ont rasé une grande partie de la forêt tropicale humide près du village pour y planter des vergers d’agrumes, d’avocatiers et de caféiers. Cela a modifié les cycles pluviométriques locaux, entraînant une chaleur extrême et une sécheresse persistante.
© Neil Giardino

Justin Eagle Gauthier, Nation menominee (Omāēqnomenēw), États-Unis, 2019 – Photo inédite de l’acteur autochtone Jud Gauthier, tirée de la séance photo pour l’affiche de la pièce “Between Two Knees” de la troupe comique autochtone The 1491s. Cette pièce, qui offre une vision percutante de l’oppression systématique, emmène le public à travers les moments clefs de l’histoire des peuples autochtones d’Amérique du Nord jusqu’à l’occupation de Wounded Knee par l’American Indian Movement en 1973.
© Ryan RedCorn
Couple sedang (Xơ Đăng), Vietnam, 2017 – Les Sedang vivent dans les collines du centre du Vietnam. Ce sont des agriculteurs qui élèvent des buffles d’eau, des chèvres, des cochons noirs des hauts plateaux et des poulets, et qui cultivent du riz, du millet et d’autres céréales. Les peuples autochtones sont les propriétaires légitimes de leurs terres et constituent un élément essentiel de la diversité humaine.
© Réhahn Photography
Couple evenki, Yakoutie, Russie, 2022 – L’élevage de rennes, la pêche et la chasse ont toujours été au cœur du mode de vie des Evenki. Aujourd’hui, cependant, leurs terres sont exploitées pour l’industrie minière et forestière, ce qui entraîne destruction et pollution de l’environnement, rendant leur vie de plus en plus difficile. Malgré cela, les Evenki entretiennent une relation profonde avec leurs terres, leurs forêts et leurs rivières, qu’ils s’engagent à protéger.
© Natalya Saprunova
Photo bonus ! 30 000 femmes et hommes massaï manifestent, Tanzanie, 2024 – Depuis de nombreuses années, le gouvernement nie systématiquement les droits fondamentaux du peuple massaï vivant dans la zone de conservation du Ngorongoro, dans le but de les expulser de leurs terres sous prétexte de conserver la nature.
© Membre de la communauté massaï
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